In too Deep
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 In this elevator your smile is a weapon Feat September.

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In this elevator your smile is a weapon Feat September. Vide
MessageSujet: In this elevator your smile is a weapon Feat September.   In this elevator your smile is a weapon Feat September. Icon_minitimeMar 31 Aoû - 19:00

If September Moore meet Jaylhen Sparks
In this elevator your smile is a weapon.

In this elevator your smile is a weapon Feat September. ItklKcy7Pb9IMf2
« Because today, darling, all our hopes and our dreams
will come true... believe me ! »

    Mauvaise matinée... très mauvaise même ! Aujourd'hui Jaylhen avait reçu deux appelles. L'un de l'homme qui tenait la galerie d'art, ce con voulait lui dire que sa restauration prévue pour la semaine prochaine était annulée parce que son ami machin était revenu de sa croisière avec machin et un autre tas de connerie dans le genre. La seule chose à retenir, c'est qu'il fallait qu'il se trouve rapidement un autre taff avant d'être dans l'incapacité de payer son loyer et se faire jeter à la rue. Pas très très joyeux comme début de journée quoi. Et le deuxième coup-de fils provenait de sa soeur. Avec le décalage horaire il n'avait pas pus répondre mais, il savait très bien ce qu'elle voulait lui raconter. Surtout qu'elle n'était pas du genre à appeler juste pour savoir comment allait son petit frère, au contraire. A coup sur c'était son futur ex-mari qui faisait encore des siennes. Malgré qu'ils aient tous les deux la trentaine passée ils se comportaient comme des gamins au point ou Jay ce demandé si ce divorce n'était pas juste un nouveau jeu. Du style; 'Oh, tu me fais tellement souffrir que je vais te quitter et t'en faire bavé mais, après trois mois de séparation je vais me rendre compte que je t'aime toujours et nous allons nous remettre ensemble !' Évidemment Jaylhen était bien obligé de supporter toutes leurs scènes de ménages, après-tous, la famille c'est la famille. Mais il n'aurait jamais pensé que sa frangine allait lui téléphoner alors qu'il se trouvait à l'autre bout du monde. Note à lui-même, pensé à attribuer une sonnerie spécifique à sa sœur pour savoir s'il doit décrocher ou pas. Enfin, bref. Sa mission du jour c'était essayé de trouver un autre job. Pas facile, facile quoi, parce qu'il faut dire les œuvres d'art à restaurés ça ne courrait pas les rues -il aurait bien aimé- et qu'il n'y avait pas beaucoup de musée à Melbourne ou, en tout cas, pas beaucoup qui embauchaient. Il y avait toujours les particuliers mais, ce n'étaient pas le must et surtout ils n'étaient pas toujours fiables -pour ne pas dire jamais. Comme le propriétaire de la galerie d'art... putain ce mec s'il s'écoutait il irait bien lui casser la gueule ou taguer son joli petit local. Quel abrutie mais quel abrutie!

    Après deux bonnes heures de défoulement psychologique et physique avec sa console de jeux vidéo -ce n'est pas parce qu'on a vingt-sept ans que l'on ne se comporte plus comme un gamin- Jaylhen avait décidé que faire une promenade au bord de la mer aurait pu lui faire le plus grand bien. Vous savez l'air frais, le soleil, l'eau, le son des vagues... mais c'était sans compter sur le temps superbe qu'il faisait à Melbourne ! Des nuages noirs obscurcissaient le ciel, signe avant coureur d'un orage et un vent glacial s'abattait sur la ville. Rien de quoi enthousiasmé Jay au final. C'est donc après, tient cinq minutes à tout cassez passer à l'extérieur qu'il trouva préférable de rentrer chez-lui. On n'était même pas midi et cette journée virait déjà au cauchemar. Par chance, quand il pénétra dans le hall de l'immeuble, il arriva à retenir l'ascenseur avant qu'il parte sans lui. Une jeune femme se trouvait déjà dans celui-ci. Jay lui adressa un petit sourire en coins et la salua d'un signe de tête discret. Ensuite il s'appuya nonchalamment contre les parois du fond laissant son regard se perdre sur sa voisine. Elle était plutôt petite, ou en tout cas plus que lui -ce qui n'était guère étonnant. De longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses frêles épaules et ils ondulaient légèrement. Une taille fille, un visage agréable. Il n'y avait pas à dire c'était une jolie jeune femme. Lentement, Jay détourna le regard. Ce n'était pas très polie de fixer ainsi les personnes et surtout ça pouvait rapidement les mettres mal à l'aise.

    Alors que Jaylhen était en train de se perdre dans ses pensées -où il se demandait quelle nouvelle guitare il pourrait s'acheter pour remplacer celle qu'il avait laissée en Californie- l'ascenseur émit un bruit métallique. Puis, soudainement il s'arrêta net. Jay, ne comprenant pas ce qui se passait, se redressa et appuya de nouveau sur le bouton de son étage, sans grand succès puisque rien ne changea. Excédé et surtout énervé de toutes ces complications, il laissa échapper un juron -ce qui n'était pas très classe de sa part, surtout en compagnie d'une jeune dame. Il n'y avait pas à dire, cette journée était vraiment un enfer et rien ne semblait vouloir se déroulait normalement. Il pivota vers la brunette et planta son regard dans le siens avant de murmurer d'une voix rauque: « Je crois que nous sommes bloqués. »

    Et quand on croit que tout va pour le mal, le destin nous prouve que ça pourrait toujours être pire. Les lumières, déjà faible, s'éteignirent et laissèrent leurs places aux ampoules d'urgences qui diffusaient une lumière blafarde dans l'habitacle. Bon et maintenant ? Les câbles allaient lâcher et ils mourraient tous les deux, écrasé au fond de la cage de l'ascenseur ? Pas de risque, ils n'étaient pas assez haut, ils n'avaient même pas encore atteint le troisième étage. Nom de dieux, c'était vraiment une foutue journée !

Spoiler:


Dernière édition par Jaylhen C. Sparks le Lun 13 Sep - 0:09, édité 1 fois
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In this elevator your smile is a weapon Feat September. Vide
MessageSujet: Re: In this elevator your smile is a weapon Feat September.   In this elevator your smile is a weapon Feat September. Icon_minitimeMar 31 Aoû - 21:10

    8:30 ; bip bip, bip bip, bip bip, bip bip, BAM

Je me réveille du pied gauche, et j’avais maintenant une dent contre le réveil, je faisais un rêve merveilleux, juste quand le prête allez dire « vous pouvez embrassez la marier ! » le réveil m’a ramené à la réalité. J’aurais bien voulu que mon prince charmant et moi-même nous marions à jamais. J’avais une merveilleuse robe blanche avec dessus, une centaine de petites fleures blanches accrochées. J’avais un magnifique maquillage appliqué sur mon visage. Mon prince charmant était arrivé avec son beau cheval blanc. C’est bel et bien comme ça que je vois mon mariage. Un voile couvrant mon visage, des talons en verres comme cendrillon. Un bouquet composé de fleurs multicolore, si je me souviens bien, quelques unes étaient peintes, pour faire des bleus et pleins d’autres couleurs.
Ce matin, j’avais décidé de ne pas aller au travail un jour de plus. Je me préparai en vitesse, enfila un blouson, un foulard. Mes habilles aujourd’hui étaient plutôt ternes, comme d’habitude. M’habiller de façon très coloré c’est pas mon truc, au contraire. Ma garde robe entière est quasi-grise/noire. Enfin bref, je sors de chez moi, tranquillement, prends l’ascenseur puis sors de l’immeuble. Je passe dans un café, m’acheter un café à emporter, puis me balade dans les rues de Melbourne. Il ne fait pas du tout beau, il pleut quelques goutes, mais avec le café qui me procure une petite touche de chaleur, j’allais mieux, et ce n’est pas quelques goutes qui vont me faire rentrer chez moi. Il faut au mois un énorme orage.
Je venais de faire un petit tour en ville et fini rapidement mon café. Je passe dans une librairie, pas celle ou je travaille, tout naturellement. Je prends quelques livres, malheureusement, je n’avais pas pris de sac et la libraire n’en donné pas. J’ai donc une petite dizaine de bouquin dans les bras et je repasse au café, me rachète un autre café que je pose sur la pile de livres que je tenais. Deux minutes plus tard, j’étais déjà arrivé à l’immeuble. J’ouvre la porte en vitesse et appuie sur le bouton de l’ascenseur. J’entre dans l’ascenseur puis d’un coup, un homme surgit de nulle part et retient les portes pour entrer. J’avais sursauté, qu’est qu’il m’avait fait peur. « Bonjour. » dis en toute politesse. Je soupire puis le regarde du coin de l’œil appuyer sur le bouton. Il habitait donc au 6e, pourtant, je ne l’avais jamais croisé, si ça se trouve il rendait visite à un ami. Je pose ma pile de livres au sol et bu une gorgée de mon café. L’ascenseur se bloque d’un coup, surprise je donne un gros coup de pied dans la porte. Je le regarde, puis il pose également son regard dans le mien et je détourne de suite mon regard vers la porte de sortie. L’homme coincé avec moi murmura « Je crois que nous sommes bloqués. », énervée je faillis ajouter un « non, c’est vrai ? » mais je me retiens. Si c’est un voisin, je préférais rester polie. Je m’assoie au sol, à l’opposé de l’homme. « On en a pour un bon moment. Ils ne seront pas là avant 2 heures, café ? » Lui dis-je, et lui tends mon café. J’ai peut-être oublié d’ajouté qu’à chacun de mes mots, je rougissais de plus en plus. Ce n’est pas parce que le type est beau ou je ne sais quoi, je n’ai même pas encore pris la peine de le détailler. Je commence à le regarder dans les yeux. Il a de magnifiques yeux bleus. J’aimerais tellement avoir des yeux bleus, le vert, je n’aime pas des masses. J’ai déjà essayé des lentilles pour les yeux bleus, mais ça ne faisait pas top. Enfin bref. Il est brun, et il ne faut pas dire qu’il est moche, au contraire.

J’ai oublié quelque chose d’important quand on doit passer un petit bout de temps avec quelqu’un, les présentations, « Moi c’est September. » Je lui souris puis me baisse vers mon café chaud. Ce qui me réconforte, c’est bel et bien mon petit café qui me donne dans la chaleur. J’essaie de penser à des choses marrantes, puis je me mis à rigoler, toute seule. Pourtant, là situation n’était pas marrante, elle. L’homme est enfermée dans un petit espace avec une folle qui va devenir complètement tarrée si elle ne sors pas dans les 10 minutes à venir.


Non, tu rigoles, ton rp est génial, mon rp par contre est affreux, désolée ! >.<
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MessageSujet: Re: In this elevator your smile is a weapon Feat September.   In this elevator your smile is a weapon Feat September. Icon_minitimeJeu 2 Sep - 0:18

In this elevator your smile is a weapon Feat September. ItklKcy7Pb9IMf2
« Because today, darling, all our hopes and our dreams
will come true... believe me ! »

    Il rêvait, c'était forcément cela ! Jaylhen était en plein cauchemar et allait bientôt se réveiller dans son grand lit douillet. Au son de ses paroles, son cœur avait raté quelque battement. Il était même presque certain qu'elle avait pu remarquer son désarroi -enfin, celui-ci avait été plutôt évident. Ses yeux s'étaient écarquillés sous le choc et sa mâchoire c'était entrouverte laissant apparaître deux longue ligné de dent blanche. Combien de temps avait-elle encore dit ? Deux heures ! Sacré nom d'un chien, et lui qui n'aimait pas les espaces reclus et mal éclairé il était servi. Scénario digne d'un mauvais film d'horreur. Vous savez de ceux ou le héros meurt et la fille, toujours blonde et avec une poitrine largement suffisante, cour pendant près de deux heures en criant 'a l'aide, il va me tuer' à tous ceux qu'elle rencontre -et qui bien entendu vont se faire massacré parce qu'ils ont eu un tant soit peu d'altruisme. Des vrais navet quoi ! Au moins Jaylhen ne s'était pas retrouvé enfermé seul, sinon cela aurait été plus angoissant encore. La brunette lui avait même proposé du café, sympathique de sa part, avait-il immédiatement pensé. Bien entendu il refusa, la remerciant d'un geste rapide de la main. Jay était déjà assez excité comme cela, la caféine n'aurait pas eu un effet très bénéfique sur son métabolisme. Enfin bref. En quelque geste prompts il l'imita et s'assit en face d'elle, sur les talons, les avant bras reposant sur ses genoux. Après tout, que leur restait-ils d'autre à faire mise à par attendre ? Et il était préférable de se mettre dans une position moins fatiguant que debout, car ça risquait d'être un peu long. « Deux heures. Ça va donc prendre autant de temps. J'espère pour vous que vous n'aviez pas de choses urgentes à faire. » Jay gratifiant la jeune fille d'un sourire amical, espèrent ainsi cassez l'ambiance quelque peu tendu qui s'était instauré entre eux. Finalement, ils ne se connaissaient pas, ne s'étaient jamais vus -il se souviendrait d'une jeune fille aussi mignonne s'il l'avait croisé- et comme première approche, rester coincé dans un ascenseur miteux, ça laissait quelque peu à désirer. Mais bon, rien n'est parfait dans la vie.

    Soudainement la jeune femme se présenta, ce qui dans un sens était assez normal. Connaissez-vous une meilleure façon de commencer à faire connaissance ? Et, avouons-le, il est tout de même plus agréable de parler avec quelqu'un dons on connait le prénom. Elle, elle s'appelait September. Beau et doux mois de septembre. Jaylhen se surpris à aimer sa sonorité très poétique. Ce n'était pas très commun mais, pourtant c'était marquant. Le genre de prénom que l'on n'oublie pas en quelque sorte. Les lèvres de Jay s'étirèrent en un nouveau sourire pourtant plus fade que le premier. « Et bien malgré la situation loufoque je suis enchanté de faire votre connaissance September. Moi c'est Jay. » Il pensât brusquement à son meilleur ami Hoyt. Il lui aurait certainement administré une tape sur l'épaule en lui disant d'arrêter de lancer des phrases toutes droites sorties de paquets de corn-flakes. La courtoisie et lui ça faisait vraiment deux. Il y avait des moments où Jaylhen regrettait sa vie aux États-Unis, où passer du temps avec sa famille, ses amis, ses voisins, lui manquaient. Là-bas il pouvait lisser libre cour à ses envies aussi folles soient telles, aller, aux aurores, plonger dans l'eau chaude et bienfaitrice des plages de Californie, chevauché les vagues, son surf à la main et une... Le rire de September le fit revenir à la réalité, dans cet ascenseur, loin très loin des côtes américaines. Avait-il fait sans s'en rendre compte un geste amusant ou étonnant ? Pire, avait-il, à force de fantasmer, fait une grimace embarrassante qui aurait pu expliquer la cause de son hilarité ? Sa curiosité, presque malsaine, le força à lui poser la question. Après tout, que risquait-il ? Elle ne semblait pas être une femme sadique et dangereuse qui allait essayer de lui trancher la gorge à la moindre parole dites de travers. « Vous allez bien ? » Soufflât-il finalement en manque d'idée. Bon, ce n'était pas très glorieux comme approche mais, il voulait rester le plus diplomate possible. Il pencha sa tête sur le côté, essayant d'avoir l'air rassurant et ajouta le sourire aux lèvres. « Je suis désolée ma question précédente pouvait sembler ambigus mais, vous veniez de rire et... » Il laissa sa phrase en suspens Que pouvait-il ajouter d'autre: 'Je me demandais si c'était à cause de moi ? J'ai trouvé cela étrange ? Ai-je fais quelque chose de ridicule ?' Nan, toutes ses tournures l'aurait fait passer pour un idiot ! Et ça ne lui ressemblait vraiment pas. Jaylhen préféra donc laisser tomber, se taire était la meilleure des choses à faire après toutes les absurdités qu'il avait déjà dites. Nonchalamment il sortit de sa poche avant de son jeans son portable -un truc très long et plat- et jeta un coup d'oeil aux quatre nombres affichés sur l'écran. 11:21AM. En temps normal il serait rentré chez lui jouer un peu de musique ou aurait simplement allumé sa télévision. Depuis qu'il était arrivé à Melbourne il avait suivi toutes les émotions de télé-réalités qui passaient, il les avait regardés à s'en rendre malade. Pourtant, il détestait cela ! C'était si... stupide et vide de sens. Comme quoi, l'ennui peut vous faire faire tout et n'importe quoi. Il rangeât son appareille là où il l'avait pris et fixa le sol de l'ascenseur. Le bon côté de cette histoire est que quand il sera vieux et dégarnie il aura une anecdote amusante à raconter à ses hypothétiques futur petit enfant.

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MessageSujet: Re: In this elevator your smile is a weapon Feat September.   In this elevator your smile is a weapon Feat September. Icon_minitimeMar 5 Oct - 22:59

« Deux heures. Ça va donc prendre autant de temps. J'espère pour vous que vous n'aviez pas de choses urgentes à faire. » Je rougis un peu en souriant et hausse les épaules, je ne savais pas vraiment si j’ai des choses à faire, surement un peu d’ordre dans mon appartement, je n’aime pas vraiment ranger, je le fais juste en cas d’urgence, en gros quand j’ai des invités, qui se fait assez rare vu que la plupart des gens que je connais de visage, je ne leurs parle quasi-jamais, à part peut-être « bonjour » et « au revoir ». À part ça, j’avais toute ma journée, bon rester dans un ascenseur huit heures, ça oblige les gens à lier des liens, mais là ce n’est pas le cas, Peut-être qu’en deux heures, l’homme et moi ne nous reparlerions plus jamais, en tout cas, dans cet ascenseur. Ou peut-être que je deviendrais beaucoup moins timide et on parlera comme des pipelettes, mais pour l’instant ce n’est pas gagné. En même temps, vu ce que je dis, ça ne va pas trop dans ce sens. « Je ne pense pas vraiment que j’ai des tonnes de choses à faire, en tout cas, ça peut attendre. » Je rebaissai la tête et bu la dernière gorgée de mon café. Je pensai avoir tort, ces deux longues heures allaient passaient très très très [...] lentement. Après m’être présentée, l’homme regarda en l’air, comme s’il pensait profondément, puis, quelques instants plus tard, il se présenta à son tour, « Et bien malgré la situation loufoque je suis enchanté de faire votre connaissance September. Moi c'est Jay. » Je fis un petit sourire, puis fis le mieux que je pouvais faire pour ne pas rire, non qu’il me faisait rire, enfin si, mais pour une fois que je rencontrais un garçon qui t’accostais pour te demande ton numéro de portable, je trouvais ça assez marrant. « Vous allez bien ? » Je le regardai avec de gros yeux, ce qui me coupa mon envie de rire. C’est vrai, il me prenait surement pour une folle maintenant, une petite vieille sans amis qui rigole alors que rien n’est drôle. Je baissai la tête, puis finalement, il continua avec quelque chose d’autre, « Je suis désolée ma question précédente pouvait sembler ambigus mais, vous veniez de rire et... » Et ... ? Oui bon d’accord j’avoue que je pouvais ressembler à une folle, mais oui, j’en suis pas folle, et j’espère bien que sa première question n’était pas vraiment ... « sérieuse », puisque j’avais toujours un couteau sur moi et que j’aimais vraiment agresser les autres, c’est pour ça que j’me foutais de lui. Bref, après ma petite « plaisanterie », revenons au sérieux. Je répondis à ce type de manière sérieuse, pour une fois, « Non, non, je vais bien, très bien même. Je pensais juste à un moment de ce matin ... Je suis juste tombé devant une foule de personne, et en repensant ... ça me faire rire. » J’accompagnai tout cela d’un sourire puis d'un petit rougissement des joues, c’est vrai, je confiai à un inconnu quelque chose, bon ce n’est pas très secret, mais bon. J’avais déjà raconté à une inconnue rencontré je ne sais où que j’étais tombé dix minutes avant, elle ne pu s’empêcher de partir en courant, morte de rire car je lui avais refaite la scène, et tomba vraiment.
Je posai ma tête contre un des murs de l’étroit ascenseur et fermai les yeux. A cette heure, j’aurais dû être affalée sur mon canapé entrain de dévoré un donuts et d’écouter un de mes cd favoris, un livre sous les yeux. Ou peut-être entrain de me chercher de nouveaux trucs dans des centres commerciaux, je ne sais vraiment plus comment occuper mes après-midis en ce moment. C’est vrai, je ne fais que dépenser, dépenser et encore dépenser, je devrais, pour une fois faire quelque chose d’intéressant comme passer des après-midis entières à faire les commères avec des amies. Si seulement j’en avais. C’est vrai que j’ai toujours était timide, mais jamais je n’aurais pensé que je n’aurais jamais d’amis, bien que je ne suis peut-être pas la plus gentilles des femmes, j’ai quand même des qualités bien à moi. Certes, je ne suis pas blonde avec une poitrine énorme qui pourrait se dégoter deux/trois amis rien qu’en claquant des doigts, mais je sais que si je le veux réellement, je peux en avoir un ou deux... Un bon et premier objectif.


encore désolée mais je me devais de te répondre,
et j'aurais pas pu faire mieux ... =(
je m'excuse encore ... je me rattraperais!
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MessageSujet: Re: In this elevator your smile is a weapon Feat September.   In this elevator your smile is a weapon Feat September. Icon_minitime

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