In too Deep
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Words like violence, break the silence, come crashing in into my little world

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Invité

Anonymous


Invité



Words like violence, break the silence, come crashing in into my little world Vide
MessageSujet: Words like violence, break the silence, come crashing in into my little world   Words like violence, break the silence, come crashing in into my little world Icon_minitimeJeu 29 Juil - 13:07




feat : célébrité

♣ IDENTITY . CARD


♦ Nom et Prénom :: Samuel McCalister.
♦ Date et Lieu de naissance :: 09 mai 1984, à Sidney.
♦ Métier :: Mascotte-Poulet d'un fast-food.


Ce que vous pensez de l'immeuble; comment vous vous y sentez? Regrettez-vous d'avoir emménagé ici? (4-6 lignes) ::
« Tout est mieux que la rue, alors je pense que je suis content d’être ici. Même si le club au pied de l’immeuble fait chier pas mal de personne avec sa musique électro, je suis heureux. En plus, il y a de belles danseuse qui habitent là, quoi de mieux ? Mon appartement n’est pas bien grand, mais pour une personne, c’est largement suffisable. Le loyer est à ma portée avec mon métier (bien merdique soit dit en passant). Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. »





« i am going to tell you what it hapened »
.



histoire, caractère, physique (trentaines lignes) :

J’avais tellement chaud sous ce costume. Et puis ces plumes qui volent partout, j’en ai plein les yeux et la bouche. Mais je ne peux pas me plaindre, sous peine d’être viré. Je ne préfère pas prendre ce risque même si l’envie de faire bouffer ce costume jaune canari de poussin à mon patron me démange. Encore quelques minutes et mon service se termine, mais tous ces touristes qui veulent prendre une photo de moi et de leurs mômes baveux, rah je hais ce boulot minable.
« Samuel, c’est bon, il est dix huit heures ! »
Sam, bordel, Sam.
Je n’aime pas mon prénom. Samuel. Il est tellement bizarre. Mais bon, je respecte le choix de ma chère mère (bon à moitié vu que je préfère qu’on me surnomme Sam).
Je rentre alors dans la boutique, laissant les touristes avec leur appareil photo que je ne pourrais jamais me payer, et une odeur de graisse me frappe au visage. Avant, j’adorais cette odeur de frite baignant dans l’huile, depuis que je travaille ici, je trouve ça écœurant. Tellement que j’en eu un haut le cœur. Quelques enfants qui étaient assis non loin de la porte d’entrée pouffèrent en me voyant et l’un deux me jeta deux frites. Je ne devais en aucun cas m’emporter, sinon j’allais être viré mais ce gosse… Je le jetterais bien avec les frites surgelé dans l’huile bouillante.
J’accélère le pas pour fuir cet Enfer et me rend directement au vestiaire. Les douches sont tellement sales que je préfère prendre le métro en sentant la graisse, et encore, je sens toujours l’huile, c’est affreux. Les parfumeries doivent tellement m’aimer vu les flacons que j’achète pour faire disparaitre cette odeur car je crains que les filles n’apprécient pas tellement.
Je me change donc en deux trois mouvements, et m’enfuis d’ici. Le métro n’est pas loin, donc après deux minutes de marche rapide, je m’engouffre dans le tunnel souterrain.

Me voilà chez moi. Le métro est un Enfer. Il fait chaud. Les gens transpirent (moi compris, mais c’est autre chose). Mon lit moelleux m’attend, et je me permets une petite sieste avant que la nuit commence, et que la musique du club prenne de l’ampleur.
A vingt et une heure, les premiers battements se font et me réveillent par la même occasion. Je prends une douche rapide. Shampooing et gel douche à gogo, je ressors propre avec pour une fois, cette odeur à peu près partit. Je m’enroule autour d’une serviette et commence mon rituel. Plusieurs coups de parfum et je me regarde dans le miroir.
On m’a dit souvent que j’ai les mêmes yeux que ma mère, bleu intense. Je suis fière d’elle, et ça me tue de ne plus la voir. Je n’ai plus aucune nouvelle de mes parents depuis plus de cinq ans. Depuis que je suis venu ici. Mon père avait découvert que je fumais (je n’ai toujours pas arrêté), et il m’avait jeté dehors sous l’impuissance de ma mère. Je mettais alors enfuis à Melbourne, soit non loin de Sydney. Je sais que ça m’a rendu irritable envers les gens, mais tout m’énerve tellement…
Et puis, petit, je ressemblais énormément à mon grand-père, mais plus je grandis, plus je vois mon père dans ce miroir. Je me dis que si je continue à être désagréable, je serais lui. Et je ne veux pas, je me dis que ce serait une faute. Peut-être qu’en trouvant l’amour, je serais moi.
Je pris ma brosse à dent, et après trois minutes de brossage intensif, je commence à me coiffer. Mes cheveux mouillés se battent, et je préfère les démêler maintenant et les laisser sécher à l’air libre. Encore un coup d’œil dans le miroir. Je ne suis pas narcissique, juste que ce reflet qui ressemble tant à mon père m’énerve. On voit dans mes yeux la lassitude de la vie, l’énervement sur les veines de mon front. Physiquement, je suis à peu près pareillement formé. Musclé, grand, plutôt mignon (sans me vanter). Je peux facilement passer chaque nuit avec une jeune fille différente à chaque fois. Mais j’évite.
Adolescent, je suis sortie avec une fille. Nina. Une chevelure brune et bouclée. Un parfum sucré. Grande, bien roulée. Avec des yeux verts intense, elle était magnifique. Mais dix mois après s’être mis ensemble, elle m’avoue qu’elle a joué avec moi. Que je n’étais qu’un pari. Mais qu’elle n’osait pas me quitter vu les yeux en cœurs que j’avais à chaque fois que je la voyais. Elle s’en excuse encore par e-mails, même après huit ans. J’en ris. Ce n’est que du passé après tout. Mais je crois qu’elle m’a rendu quelque peu infidèle. Ces aventures d’un soir, je m’en amuse, mais j’ai peur de m’attacher à une fille comme je me suis accrochais à elle. D’avoir une nouvelle fois mal…
Enfant, j’étais presque parfait. Gentil, poli, respectueux, simple, loyal. Les gens que j’aimais étaient certains que je serais toujours bon avec eux. Que je ne les trahirais jamais. Ma mère m’a toujours apprécié pour ce côté, un peu moins pour mon côté lunatique, chiant, exécrable. J’aimerais savoir son avis sur ce que je suis aujourd’hui. Mais je crois que c’est impossible. Ils n’habitent plus le petit appartement de Sydney, et je n’ai aucun contact pour les retrouver.

Cela fait bientôt cinq ans que je me suis installé dans cet immeuble. Avant, il n’y avait pas ce club au pied de l’immeuble, mais un restaurant chinois « à la grande nouille » affreusement odorant. Ça sentait mauvais mon dieu, mon odorat en a souffert. Mais maintenant, c’est mon ouïe qui se plaint.
Je finis de me préparer, en m’habillant le plus simplement du monde : jean, tee-shirt gris et veste en cuir. La nuit est à moi, et je vais la passer à m’amuser.


« what you think about it ? »
.



Racontes ce que tu veux sur Melbourne : (3-5 lignes) :
« Melbourne est une belle ville, même si l’énergie de Sydney me manque. Je n’y suis pas très loin de toute manière. Une petite heure en voiture en longeant la côté australienne, et j’y suis.
Melbourne est calme le jour, ambiancée la nuit. Je ne dors pas beaucoup, le sommeil n’est pas quelque chose de précieux pour moi, donc je sors. La journée, je vais de dix à dix huit heures devant le fast food à l’autre bout de la ville fait le poulet pour les clients (qui se foutent bien de moi), et la nuit, je vais dans le club au pied de l’immeuble (même si je hais la musique) ou sur la plage, il y a toujours des fêtes. Et qui dit fêtes, dit bières. »




« you're a geek »
.



ton prénom / pseudo : Lauranne.
âge : Quinze ans.
comment trouves-tu le forum ? : //
un commentaire ? : //
comment as-tu trouvé le forum ? : //
ton niveau de rp (??/10) : Pas à moi de juger.
ta fréquence sur le forum ? (?? / 7 jours) : 7/7, sauf exception.
une suggestion ? : //

code du réglement : Code bon, Sam.
Revenir en haut Aller en bas
 

Words like violence, break the silence, come crashing in into my little world

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
In too Deep :: management person :: présentations :: présentations validées-